Tout commence par une chevauchée dans les bois où Link se fait déposséder de son cheval et de son ocarina par un mystérieux personnage masqué du nom de Skull Kid. Notre héros apprend par la suite de la bouche du vendeur de masques que cet être malicieux à commis un acte sacrilège en s'emparant du masque de Majora, une relique ancestrale qui apporte la malédiction et qui avait été scellée par les anciens. Le seul moyen d'empêcher l'apocalypse : reprendre possession du masque en l'espace de trois jours, avant que la Lune n'entre en collision avec le monde de Termina. Grâce à l'ocarina, Link va pouvoir à son gré remonter le temps pour pouvoir revivre perpétuellement ces trois jours de fin du monde.

Source : Romstation

Les graphismes sont presque les mêmes que ceux de Ocarina of Time, alors que dire de plus… Ah si : L’expansion pack a rajouté un bon nombre d'effets et d’animations assez plaisantes à voir comme les sauts de Link, mais on se serait bien passés des hochements de têtes des perso quand ils parlent car ça fait peur à voir x). Je pense que ce sont le scénario et l’ambiance les plus travaillés de tous les Zelda. Il est triste et parfois à la limite du macabre, et est beaucoup moins joyeux. Attendez… je ne dis pas qu’il est sans humour ! Car il y a des passages très comiques dans le jeu, mais je dirais que l’ambiance générale est morne, pessimiste… Comme si la fin du monde arrivait ! Et c’est le cas…Le Gameplay est quasi identique à celui de Oot, mais l’ajout des masques est très intéressant ! Les différentes transformations permettent de varier un peu et certains masques ont des pouvoirs carrément débiles ! Certaines musiques de Oot sont toujours là, mais on voit dans Majora’s Mask un certain nombre de nouvelles musiques qui sont très bonnes et bien accordées avec l’ambiance. Contrairement à ce que beaucoup disent, Majora’s Mask est une bonne suite et mérite amplement de se placer dans les meilleurs des Zelda ! Il est spécial, je vous l’accorde, mais y jouer est tellement bon ! Vous avez trois jours pour aller y jouer, car sinon, qui sait ce qui arrivera…